Naniwaya (11, rue Ste Anne)

Un petit restaurant où il faut souvent faire la queue, la réservation étant impossible. Les plats sont assez variés, on y trouve pour tous les goûts. On peut prendre par exemple des takoyakis, sortes de boulettes de poulpe. Attention à ne pas se brûler, si l'extérieur est tiède, l'intérieur est très chaud. Les udons, sortes de soupes avec des pâtes, sont appréciables en hiver.
Le personnel n'est hélas pas toujours aimable. Petit plus : le thé à volonté, à se servir soi-même.

Aki (11 bis, rue Ste Anne)

Juste à côté du Naniwaya, un restaurant spécialisé dans l'okonomiyaki, des sortes d'omelettes fourrées. Le restaurant n'a pas l'air très grand à première vue, mais il existe une seconde salle au sous-sol où l'on peut s'installer au comptoir et voir les cuisiniers préparer les plats presque sous son nez. J'apprécie particulièrement les okonomiyakis aux fruits de mer (calmar, poulpe). A noter que les goyzas n'y sont pas mauvais du tout (je les trouve moins gras qu'au Hokkaido). L'une de mes soeurs y est allé et m'a affirmé que les okonomiyakis sont aussi bons qu'au Japon. Je n'avais jamais entendu parler de ce restaurant et c'est donc une bonne surprise !
Il faut compter 10 euros en moyenne pour un okonomiyaki. A titre de comparaison, ce plat coûte 4 euros à Nakano (banlieue de Tokyo). Il s'agit du prix de janvier 2008 pour un plat seul, il faut compter 6 euros pour le menu. Ca laisse rêveur...

Kadoya (28, rue Ste Anne)

Un autre restaurant dans le même style que le Naniwaya, avec tables et comptoir. Au niveau de la nourriture, il n'y a pas de spécialité particulière, les plats sont semblables à ceux du Higuma ou du Naniwaya. Disons que c'est une bonne solution de secours lorsque les autres restos sont bondés (les vrais restos japonais ne sont pas si nombreux que ça). De plus, il a l'avantage de rester ouvert plus tard que les autres, jusqu'à 23h30 si ma mémoire est bonne.